Dans quel cas a-t-on besoin d’un défibrillateur ?

Dans quel cas a-t-on besoin d’un défibrillateur ?

Tous les ans, la France enregistre environ 50 000 morts subites dont 80% sont causées par des pathologies cardiaques. Ces dernières provoquent souvent une fibrillation ventriculaire, c’est-à-dire une activité électrique anarchique du cœur. Pour y faire face, on a généralement recours à un dispositif médical, en l’occurrence le défibrillateur. Celui-ci permet d’augmenter le taux de survie des victimes d’arrêt cardiaque. Il reste tout de même à savoir quand l’utiliser et comment s’y prendre. C’est ce que nous allons montrer dans cet article.

Quand utiliser un défibrillateur ?

L’utilisation du défibrillateur est indiquée en cas d’arrêt cardiaque avéré ou d’absence de signe de vie. Cela se traduit par l’inertie de la victime, son silence et le fait qu’elle ne respire plus. Dès cet instant, les chances de survie de la victime diminuent de 10% toutes les minutes. D’où l’intérêt de recourir à un défibrillateur le plus tôt possible. De ce fait, pour en avoir un à disposition, achetez votre défibrillateur sur https://www.defibril.fr/achat-defibrillateur. L’utiliser dans les premières minutes suivant l’arrêt cardiaque servira non seulement à sauver la victime, mais aussi à éviter les éventuelles conséquences neurologiques. Ces dernières sont souvent dues à des lésions cérébrales. Toutefois, pour obtenir ces résultats, il faut utiliser l’appareil de façon adéquate.

L’utilisation d’un défibrillateur

L’utilisation d’un défibrillateur se fait comme l’indique le mode d’emploi de celui-ci. Ainsi, qu’on soit face à un défibrillateur entièrement automatique (DEA) ou d’un défibrillateur semi-automatique (DSA), on commencera par dénuder la poitrine de la victime. Ensuite, on y posera les deux électrodes à même la peau. On s’assurera alors que personne de soit au contact de la victime. Puis on mettra en marche l’appareil. Celui-ci va analyser le rythme cardiaque de la victime et délivrer une décharge électrique selon le besoin. Dans le même temps, on réalisera un massage cardiaque en alternant compressions thoraciques et insufflations. Dans le meilleur des cas, ces opérations vont permettre à la victime de retrouver une respiration normale.

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